Simulation rendement colocation : estimez la rentabilité de votre investissement immobilier

Investir dans la colocation peut être une stratégie très rentable, surtout dans des zones à forte demande locative. Cependant, avant de vous lancer, il est crucial de bien comprendre la rentabilité de cet investissement. La simulation du rendement d’une colocation vous permet d’évaluer de manière précise le potentiel de rentabilité de votre bien, tout en prenant en compte des facteurs spécifiques comme les loyers, les charges et les frais annexes. Dans cet article, nous vous guiderons pas à pas pour réaliser une simulation de rendement, vous fournirons des outils adaptés et partagerons des conseils pour maximiser la rentabilité de votre investissement en colocation.

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Une stratégie d’investissement prisée

La colocation est de plus en plus prisée par les investisseurs immobiliers, notamment dans les grandes villes et les zones universitaires. Cette forme d’investissement offre plusieurs avantages : des loyers plus élevés grâce à la location de chambres individuelles, une réduction du risque lié à la vacance locative et une demande constante de logements partagés, en particulier chez les étudiants et les jeunes professionnels. En répartissant les revenus locatifs sur plusieurs locataires, l’investisseur peut ainsi optimiser la rentabilité de son bien tout en réduisant les risques financiers liés à l’occupation totale du logement. La colocation représente donc une alternative intéressante pour ceux qui cherchent à maximiser leur retour sur investissement immobilier.

Maximiser la rentabilité grâce à plusieurs locataires

L’un des principaux atouts de l’investissement en colocation est la possibilité de louer plusieurs chambres à différents locataires, ce qui permet de multiplier les revenus générés par un même bien. En optant pour la colocation, vous transformez une propriété de taille moyenne en une source de revenus diversifiée, avec des loyers perçus de manière fractionnée. Cela permet non seulement de mieux rentabiliser les espaces sous-utilisés, mais aussi de réduire le risque de vacance locative, puisque la probabilité qu’un seul locataire quitte l’ensemble du logement est plus faible que dans le cas d’une location traditionnelle. En fin de compte, cette stratégie permet d’augmenter la rentabilité nette de l’investissement, tout en offrant une certaine flexibilité dans la gestion des loyers et des charges.

Anticiper les risques et optimiser la gestion

Bien que la colocation présente de nombreux avantages, elle comporte également des risques spécifiques qu’il est important d’anticiper pour assurer une rentabilité durable. La gestion d’une colocation peut être plus complexe que celle d’une location classique : rotation fréquente des locataires, gestion des conflits entre colocataires, ou encore entretien accru des espaces communs. Pour minimiser ces risques, une bonne organisation et une gestion proactive sont essentielles. Cela inclut la mise en place d’un contrat de colocation clair, la sélection rigoureuse des locataires, ainsi qu’une gestion efficace des paiements et des réparations. De plus, l’utilisation d’outils de gestion (comme des plateformes de suivi des paiements ou des services de gestion locative) peut grandement simplifier le processus. Anticiper ces aspects permet de réduire les imprévus et d’optimiser le rendement de votre investissement.

Quels indicateurs utiliser pour une simulation de rendement en colocation ?

Rendement brut : le calcul de base

Le rendement brut est le premier indicateur à prendre en compte lors de l’évaluation de la rentabilité d’un investissement locatif, y compris pour une colocation. Il s’agit d’une estimation de la rentabilité avant toute déduction des charges et autres frais. Pour le calculer, il suffit de diviser les loyers annuels perçus par le prix d’achat du bien, puis de multiplier le résultat par 100 pour obtenir un pourcentage.

Par exemple, si vous percevez 1 000 € de loyers par mois pour une colocation et que le prix d’achat du bien est de 150 000 €, le calcul du rendement brut serait le suivant :
(1 000 € x 12 mois) / 150 000 € = 0,08, soit un rendement brut de 8 %.
Bien qu’il soit simple à calculer, le rendement brut ne prend pas en compte les charges récurrentes, les frais de gestion ou encore les impôts, c’est pourquoi il sert surtout d’indicateur de base pour évaluer rapidement le potentiel de rentabilité d’un investissement immobilier.

Rendement net et rendement net-net

Le rendement net et le rendement net-net vont plus loin que le rendement brut en tenant compte des charges et des frais récurrents liés à la gestion d’une colocation. Le rendement net est calculé en soustrayant les charges fixes, telles que les frais de gestion, les assurances, les taxes foncières, et les frais d’entretien, du montant des loyers perçus. Par exemple, si vos loyers annuels sont de 12 000 € et que vos charges s’élèvent à 3 000 €, le rendement net sera de :
(12 000 € – 3 000 €) / 150 000 € = 0,06, soit un rendement net de 6 %.


Le rendement net-net va encore plus loin en intégrant d’autres dépenses moins visibles, comme les travaux de rénovation, les frais de vacance locative (lorsque le bien n’est pas occupé), ou encore les frais fiscaux spécifiques à la colocation. Ce calcul permet d’obtenir une estimation encore plus précise de la rentabilité réelle de l’investissement. Par exemple, si les frais annexes s’élèvent à 1 000 € supplémentaires, le rendement net-net serait calculé en prenant ces frais en compte, offrant une vision encore plus réaliste de la rentabilité.

Cash-flow et taux de vacance locative

Le cash-flow est un indicateur clé pour mesurer la rentabilité réelle d’une colocation. Il représente la différence entre les revenus générés par la location et les dépenses liées à l’entretien du bien, aux charges, aux impôts et autres frais. Un cash-flow positif signifie que les loyers couvrent toutes les dépenses, et que vous générez un surplus, qui peut être réinvesti ou utilisé comme revenu passif. Par exemple, si vos loyers annuels sont de 12 000 € et que vos charges s’élèvent à 9 000 €, votre cash-flow sera de 3 000 € par an.


Le taux de vacance locative, quant à lui, représente le pourcentage de temps où un bien reste inoccupé pendant l’année. Ce taux peut avoir un impact direct sur votre cash-flow, car une vacance trop longue peut entraîner une perte de revenus. Un taux de vacance élevé diminue le cash-flow en raison de la non-perception des loyers pendant la période où le bien est vide. Il est donc essentiel de minimiser la vacance locative en s’assurant de maintenir une bonne gestion des locataires et de réagir rapidement lors du départ d’un occupant.

Étapes pour réaliser une simulation rendement colocation

Recueillir les informations essentielles

Avant de pouvoir réaliser une simulation précise du rendement d’une colocation, il est essentiel de rassembler toutes les informations financières liées à l’investissement. Le premier élément à connaître est le montant du loyer mensuel que vous prévoyez de percevoir. Dans une colocation, cela inclut les loyers de chaque chambre, ce qui vous permettra d’estimer les revenus totaux.


Ensuite, il est important de calculer les charges associées à la gestion du bien. Cela comprend les frais récurrents comme les charges de copropriété, l’eau, l’électricité, le chauffage, l’Internet, ainsi que l’assurance du bien. Ces charges doivent être soustraites des loyers pour obtenir une estimation réaliste du rendement.
Le prix d’achat du bien est également un facteur clé. Il représente l’investissement initial que vous avez effectué et sert de base pour le calcul des rendements brut, net et net-net.


Enfin, n’oubliez pas d’inclure les frais annexes, comme les frais de notaire, les coûts de rénovation ou d’aménagement pour rendre le bien adapté à la colocation (ameublement, aménagement des espaces communs, etc.). Ces frais peuvent avoir un impact significatif sur la rentabilité, il est donc important de les prendre en compte dès le départ.

Intégrer les frais spécifiques à la colocation

La colocation engendre des frais spécifiques qui doivent être intégrés dans le calcul du rendement pour obtenir une estimation réaliste de la rentabilité. Le premier poste de dépenses à considérer est l’ameublement. En colocation, chaque chambre doit généralement être meublée, ce qui implique des coûts d’achat de meubles (lit, bureau, armoire, etc.) et d’entretien pour garantir que chaque espace soit fonctionnel et attrayant pour les locataires. Ces frais peuvent être fixes (achat initial des meubles) ou récurrents (remplacement ou maintenance).


Le coût de gestion est également un élément clé à prendre en compte. La gestion d’une colocation demande souvent plus de temps et de ressources qu’une location classique, notamment en raison de la rotation des locataires, de la gestion des conflits éventuels ou de la gestion de plusieurs contrats de location. Si vous ne gérez pas directement votre bien, vous devrez intégrer les frais de gestion immobilière, souvent sous forme de pourcentage des loyers perçus.


Enfin, le turnover des locataires est un aspect incontournable de la colocation. La rotation des locataires peut entraîner des coûts supplémentaires : publicité pour la recherche de nouveaux locataires, frais d’agence si vous passez par un intermédiaire, travaux de remise en état des chambres, etc. De plus, un turnover élevé peut entraîner une vacance locative temporaire, ce qui impacte négativement la rentabilité. Il est donc crucial d’anticiper ces coûts pour avoir une vision complète des dépenses associées à votre investissement.

Utiliser un simulateur ou un tableur pour vos calculs

Pour réaliser une simulation de rendement en colocation de manière précise et rapide, l’utilisation d’un simulateur en ligne ou d’un tableur est fortement recommandée. Un simulateur en ligne spécialisé permet de prendre en compte automatiquement tous les paramètres nécessaires, tels que les loyers, les charges, les frais annexes, et de calculer instantanément des indicateurs comme le rendement brut, net et net-net. Ces outils sont particulièrement utiles pour les investisseurs qui ne souhaitent pas se plonger dans des calculs complexes. De plus, de nombreux simulateurs offrent des options de personnalisation pour ajuster les critères à votre situation spécifique, comme le type de bien ou la localisation.


Si vous préférez une approche plus flexible, un tableur Excel ou Google Sheets peut également être un excellent moyen de gérer vos calculs. Ces outils offrent l’avantage d’une personnalisation totale : vous pouvez créer des formules adaptées à vos besoins, ajouter des catégories spécifiques ou même créer des scénarios pour simuler différentes situations (par exemple, avec ou sans vacance locative, selon le taux de vacance). En utilisant des modèles de tableurs préconçus, vous pouvez également gagner du temps et avoir une vision claire et détaillée de votre rentabilité. Quelle que soit l’option choisie, ces outils sont essentiels pour une gestion optimale de votre investissement immobilier en colocation.

Exemple concret de simulation rendement colocation

Cas pratique avec un bien type

Pour mieux comprendre comment réaliser une simulation de rendement en colocation, prenons l’exemple d’un bien immobilier typique. Imaginons que vous achetez un appartement pour une colocation dans une ville dynamique, où la demande locative est forte. Le prix d’achat du bien est de 200 000 €.

Ensuite, vous louez quatre chambres à des prix mensuels de 400 € chacune. Cela représente un loyer mensuel total de 1 600 € (400 € x 4 chambres). Sur l’année, cela génère un revenu brut de 19 200 € (1 600 € x 12 mois).

En ce qui concerne les charges mensuelles, supposons que vous devez payer 300 € pour les frais de copropriété, 150 € pour l’électricité et l’eau, et 50 € pour Internet, ce qui donne un total de 500 € par mois, soit 6 000 € par an.

Ainsi, pour calculer le rendement brut de cet investissement, vous appliquez la formule suivante :
Rendement brut = (Revenus annuels / Prix d’achat) x 100
(19 200 € / 200 000 €) x 100 = 9,6 %

Cela donne un rendement brut de 9,6 %. Cependant, pour obtenir une image plus précise de la rentabilité, il est nécessaire de prendre en compte d’autres frais comme l’amortissement des meubles, les frais de gestion, et les éventuels coûts de maintenance.

Ce cas pratique vous montre comment obtenir un premier indicateur du rendement de votre investissement en colocation. En fonction de vos charges et des dépenses spécifiques, vous pourrez affiner ces calculs pour obtenir un rendement net ou net-net plus représentatif de la rentabilité réelle de votre bien.

Résultat de la simulation

Pour comprendre l’impact de chaque variable sur la rentabilité de votre investissement en colocation, voici comment interpréter les résultats d’une simulation pas à pas à partir de l’exemple donné précédemment.

  1. Revenus annuels
    Le loyer mensuel pour chaque chambre est de 400 €, et vous avez 4 chambres en colocation. Ainsi, les revenus annuels générés par la location des chambres sont de :
    400 € x 4 chambres x 12 mois = 19 200 €.

  2. Charges annuelles
    En prenant en compte les charges fixes (copropriété, eau, électricité, Internet), vos charges annuelles s’élèvent à :
    500 € par mois x 12 mois = 6 000 €.

  3. Rendement brut
    Le rendement brut est le premier indicateur à calculer. Il s’agit du ratio entre les revenus annuels et le prix d’achat du bien :
    Rendement brut = (19 200 € / 200 000 €) x 100 = 9,6 %.

  4. Charges et frais supplémentaires
    Pour obtenir une estimation plus réaliste de la rentabilité, il est nécessaire d’inclure les charges supplémentaires comme l’amortissement des meubles, la gestion des locataires, et les frais d’entretien. Supposons que ces frais s’élèvent à 2 000 € par an.

  5. Rendement net
    Pour calculer le rendement net, vous soustrayez les charges annuelles et les frais supplémentaires des revenus annuels :
    Revenus nets = 19 200 € – (6 000 € + 2 000 €) = 11 200 €
    Rendement net = (11 200 € / 200 000 €) x 100 = 5,6 %.

  6. Rendement net-net
    Enfin, pour obtenir le rendement net-net, il convient d’ajouter les frais fiscaux ou d’autres dépenses non encore incluses, comme des travaux de rénovation. Supposons que ces frais supplémentaires s’élèvent à 1 000 € par an.
    Revenus net-net = 11 200 € – 1 000 € = 10 200 €
    Rendement net-net = (10 200 € / 200 000 €) x 100 = 5,1 %.

Lecture et interprétation des résultats

Une fois la simulation réalisée, il est essentiel de savoir interpréter les résultats pour évaluer la rentabilité réelle de votre investissement en colocation. Voici comment analyser les rendements obtenus :

Rendement brut
Le rendement brut de 9,6 % représente la rentabilité initiale sans tenir compte des charges et des frais. Bien qu’un rendement brut élevé semble attractif, il ne reflète pas la réalité des dépenses liées à la gestion du bien. Il sert de première indication, mais il doit être affiné en intégrant les charges fixes et les frais spécifiques à la colocation.

Rendement net
Le rendement net de 5,6 % prend en compte les charges récurrentes et les frais supplémentaires (gestion, entretien, ameublement). Il offre une estimation plus réaliste de la rentabilité, car il soustrait les dépenses des revenus générés. Un rendement net inférieur au brut est normal, mais si la différence est trop importante, cela peut indiquer que les charges sont trop élevées par rapport aux loyers.

Rendement net-net
Le rendement net-net de 5,1 % est l’indicateur le plus précis, car il inclut tous les frais annexes comme les impôts et la rénovation. Si ce rendement est trop bas, cela peut signaler que l’investissement n’est pas aussi rentable que prévu et qu’il faudrait réévaluer la gestion des charges ou la stratégie fiscale.

Analyse de la rentabilité
Pour savoir si l’investissement est rentable, comparez le rendement net-net avec les autres opportunités sur le marché. Si ce rendement est inférieur à la moyenne ou à vos objectifs, il peut être nécessaire d’ajuster les loyers, les charges, ou la localisation du bien.

 

Conseils pour améliorer le rendement d’une colocation

Choisir la bonne localisation et le bon type de bien

Le choix de la localisation et du type de bien est l’un des facteurs les plus importants pour garantir la rentabilité d’une colocation. Une bonne localisation assure une forte demande locative et peut permettre d’obtenir des loyers élevés. Idéalement, recherchez des zones proches des universités, des transports en commun, ou des centres d’affaires, où les colocataires, tels que les étudiants ou les jeunes professionnels, sont nombreux. De plus, le type de bien joue également un rôle crucial : un appartement avec plusieurs chambres, un grand duplex ou une maison avec plusieurs niveaux peut être plus adapté à la colocation qu’un petit studio. Il est essentiel de choisir un bien dont la configuration permet d’optimiser l’espace tout en respectant les attentes des locataires en matière de confort et de vie en communauté.

Optimiser l’aménagement et la gestion

Une bonne gestion et un aménagement adapté peuvent significativement améliorer la rentabilité d’une colocation. L’aménagement doit permettre une séparation claire des espaces privés (chambres) et communs (salon, cuisine, salle de bain), tout en optimisant l’espace disponible pour chaque colocataire. L’ajout de mobilier de qualité et fonctionnel est crucial, tout comme l’entretien régulier des espaces communs. La gestion de la colocation inclut la sélection rigoureuse des locataires, l’entretien des équipements, la gestion des conflits et la communication efficace avec les colocataires. Utiliser des outils de gestion locative ou des plateformes en ligne dédiées à la colocation peut simplifier la gestion quotidienne (gestion des paiements, maintenance, communications). Une gestion proactive aide à maintenir une bonne atmosphère dans la colocation, réduire le turnover et minimiser les périodes de vacance.

Prévoir une stratégie fiscale adaptée

La stratégie fiscale joue un rôle clé dans l’optimisation de la rentabilité d’une colocation. En fonction de votre statut (investisseur particulier ou société), les choix fiscaux peuvent avoir un impact important sur vos bénéfices. Par exemple, le régime de la location meublée non professionnelle (LMNP) peut offrir des avantages fiscaux, notamment la possibilité d’amortir le bien et ses meubles, réduisant ainsi vos revenus imposables. Il est également possible de bénéficier de dispositifs fiscaux comme le régime réel d’imposition qui permet de déduire un large éventail de charges, y compris les intérêts d’emprunt et les frais de gestion. Une bonne stratégie fiscale nécessite également de prendre en compte les taxes locales, comme la taxe d’habitation, qui peuvent être partagées entre les colocataires selon les modalités prévues dans le contrat. Consulter un expert-comptable ou un conseiller fiscal est fortement recommandé pour maximiser les avantages fiscaux et éviter les erreurs coûteuses.

Pour conclure

Investir dans la colocation peut être une excellente manière de maximiser la rentabilité d’un bien immobilier, à condition de bien comprendre les éléments clés qui influencent cette rentabilité. La simulation de rendement, basée sur des critères tels que les loyers, les charges, et les frais annexes, est un outil indispensable pour évaluer de manière précise et réaliste le potentiel d’un investissement en colocation.

Choisir la bonne localisation, opter pour un bien adapté à la colocation, et intégrer une stratégie de gestion efficace sont des étapes cruciales pour optimiser les revenus. De plus, une planification fiscale bien pensée peut réduire considérablement les charges et améliorer le rendement net-net.

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